Flirter avec la limite est grisant.
Mais il est peut-être temps de la franchir. Ou de m'en éloigner.
Tourner le dos aux émois deux ans trop tard.
Cesser d'étirer ce regard que l'on a connu un jour que février s'éternisait et nous engluait dans l'inaction.
Ce qu'adviendra de l'immobilité, 2011 me le dira d'une brise caféinée.
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