samedi 18 décembre 2010

Isabelle = 1 ; La vie = 0

Tout est bien qui... ne finit pas ! :)

Dans la mouvance d'une foule qui se disperse, on a discuté. Comme avant, comme lorsque tu couvrais tes mains de soleil et de fer, et que tu ancrais ton regard sur le mien. Tu me parlais, tu me contemplais comme si j'avais été une oeuvre d'art émouvante de beauté et d'éclat.

Je ne te comprends pas.

Un instant, et tu changes complètement de tactique. Tu ne m'oublieras pas, tu me l'as laissé sous-entendre. Tu restreins la distance entre nous, tes mains sont puissantes et me convainquent de ne pas te laisser filer entre mes doigts.

En nous quittant, tu t'es retourné deux fois. L'instant de capter mon regard, de me partager ton consentement ; de me faire comprendre que ce n'est pas terminé, que tu étais content de m'avoir dans ta vie. C'était un regard de trop, peut-être. Un regard qui voulait comme tout dire. Complice et charmé.


« Il y a entre nous mille silences et la distance de l'infini. »

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